L’été - Albert Camus
L'Été
Livre d'Albert Camus
Qu'il suive le fil d'Ariane sur les traces du Minotaure pour évoquer Oran et ses alentours, qu'il revisite le mythe de Prométhée à la lumière de la violence du monde moderne, ou qu'il rêve à la beauté d'Hélène et de la Grèce, Albert Camus nous entraîne tout autour de la Méditerranée et de ses légendes.
Un court recueil de textes lyriques et passionnés pour voyager de l'Algérie à la Grèce en passant par la Provence.
Avis d'un lecteur:
Paru en 1954, ce recueil de nouvelles n'est pas sans rappeler « Noces », paru 16 ans plus tôt. Albert Camus nous entraîne tout autour du Bassin Méditerranéen, d'abord dans son Algérie natale, à Oran, sur les traces du Minotaure, puis à Alger, repassant par Tipasa. Puis en Grèce sur d'autres traces, celles de Prométhée face à la violence du monde moderne ou celle d'Hélène et de sa légendaire beauté ; enfin, jusque sur la côte Atlantique pour voir « La mer au plus près ».
Est-ce l'usure du temps, le fait qu'on s'habitue ou comme une impression de déjà vu ? Cet « Eté » là me semble moins torride que « Noces »… Excellent tout de même.
Livre d'Albert Camus
Qu'il suive le fil d'Ariane sur les traces du Minotaure pour évoquer Oran et ses alentours, qu'il revisite le mythe de Prométhée à la lumière de la violence du monde moderne, ou qu'il rêve à la beauté d'Hélène et de la Grèce, Albert Camus nous entraîne tout autour de la Méditerranée et de ses légendes.
Un court recueil de textes lyriques et passionnés pour voyager de l'Algérie à la Grèce en passant par la Provence.
Avis d'un lecteur:
Paru en 1954, ce recueil de nouvelles n'est pas sans rappeler « Noces », paru 16 ans plus tôt. Albert Camus nous entraîne tout autour du Bassin Méditerranéen, d'abord dans son Algérie natale, à Oran, sur les traces du Minotaure, puis à Alger, repassant par Tipasa. Puis en Grèce sur d'autres traces, celles de Prométhée face à la violence du monde moderne ou celle d'Hélène et de sa légendaire beauté ; enfin, jusque sur la côte Atlantique pour voir « La mer au plus près ».
Est-ce l'usure du temps, le fait qu'on s'habitue ou comme une impression de déjà vu ? Cet « Eté » là me semble moins torride que « Noces »… Excellent tout de même.
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